Collection Regards Hybrides

À LA DÉCOUVERTE DE LA CINÉDANSE AVEC LA COLLECTION REGARDS HYBRIDES

QU’EST-CE QUE LA CINÉDANSE?
Quelles formes prend la danse lorsqu’elle est transposée sur nos écrans? La cinédanse est un ensemble de pratiques artistiques qui se situent à l’intersection de la danse et du cinéma. C’est un espace de création où la danse transforme la manière d’aborder l’image et où le cinéma offre de nouvelles opportunités pour penser la chorégraphie. De la pellicule aux technologies numériques, en passant par la bande vidéo et toutes sortes de techniques alternatives, la cinédanse s’inscrit en filigrane de l’histoire du cinéma avec force. Parfois narrative, documentaire, surréaliste ou abstraite, la cinédanse épouse des esthétiques multiples en croisant le potentiel chorégraphique à celui du cinéma.

INNOVATION, GRANDS NOMS ET BELLES DÉCOUVERTES
Sous la direction artistique de Priscilla Guy, la Collection Regards Hybrides est un projet sans précédent qui vise à la fois le grand public, les artistes et le milieu académique, avec sa formule en abonnement annuel abordable. Rassemblant plus de 60 œuvres canadiennes réalisées au cours des dernières décennies, dont la vaste majorité sont diffusées en exclusivité web sur la plateforme, la Collection propose un voyage inédit à travers le temps et une variété d’approches artistiques.

La Collection permet notamment de revisiter des oeuvres phares portées par de grands noms (Margie Gillis, Louise Lecavalier, Ginette Laurin, José Navas, Marie Chouinard, Gilles Groulx, Bernar Hébert, Édouard Lock, Robert Lepage, Tedd Robinson, Terrance Houle) ou encore d’aller à la découverte de signatures audacieuses moins connues du grand public (Sonya Stefan, Manon Labrecque, Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo, Jontae McCrory, Marites Carino, Pablo Diconca, Vickie Grondin).

La Collection offre une gamme d’esthétiques étonnantes où danse et images se rencontrent. De l’abstraction au récit narratif, en passant par des approches documentaires, la chorégraphie s’y présente de manière stimulante, inventive et touchante! Véritable fenêtre sur les pratiques de cinédanse au Québec et ailleurs au Canada, la Collection Regards Hybrides est une ressource unique qui sera amenée à se bonifier au fil des ans en accueillant davantage d’oeuvres, d’entretiens et de contenus exclusifs, témoignant d’une diversité de pratiques toujours en renouvellement. Disponible sur le web sans limites de territoire, la Collection promet de faire connaître les talents d’ici à l’échelle internationale.

ENTRETIENS ET TEXTES
Le parti pris de la Collection Regards Hybrides est de miser sur une expérience de qualité qui permet de plonger profondément dans l’univers créatif de la cinédanse. Ainsi, pour accompagner le visionnement d’œuvres, la Collection propose des contenus complémentaires exclusifs : accédez au point de vue des artistes avec nos courts entretiens vidéo ou immiscez-vous dans les coulisses de la création avec nos entrevues de fonds au format audio! Notre série de textes inédits offre par ailleurs des perspectives sensibles, analytiques ou historiques sur certaines œuvres.

ENTRE NOUVEAUTÉ ET VALORISATION D’UN HÉRITAGE
La Collection fait le pari d’interroger certains enjeux liés au développement numérique en danse de même que les défis d’archivage souvent périlleux des œuvres chorégraphiques, à une époque où plusieurs grands noms canadiens du milieu de la danse arrivent au sommet de leur carrière. Ainsi, la Collection mise sur une mixité d’œuvres, faisant la belle part à certaines œuvres phares méconnues par les nouvelles générations, tout comme à des œuvres récentes qui s’attaquent aux défis actuels posés par l’interaction entre la danse et les nouvelles technologies.

« La danse est un art tellement éphémère, il est primordial de faire perdurer les grandes œuvres des chorégraphes d’ici grâce à des projets comme celui de la Collection Regards Hybrides. Pour une chorégraphe, le cinéma est un moyen unique d’amener l’œil du public à un point précis de l’action et de dévoiler la danse dans toute son humanité. »
— Ginette Laurin, chorégraphe

DEVOIR DE MÉMOIRE ET HOMMAGES SENSIBLES
Un devoir de mémoire se manifeste sous la forme d’hommages rendus à des figures fortes du monde artistique qui ont laissé, de diverses manières, un grand vide autour d’elles au moment de leur décès. C’est notamment le cas de Ken Roy, Angel Gates et Tedd Robinson, dont les performances à l’écran permettent de conserver un vif souvenir de leurs contributions. Les trois œuvres qui les mettent en lumière dans la Collection sont accompagnées de textes commandés sur mesure à Katya Montaignac, Wayne Wapeemukwa et Marie Claire Forté, qui ont inscrit leur pensée à l’intersection de celles de ces artistes. C’est notamment dans cet esprit de maillage intergénérationnel et pluridisciplinaire que la Collection se démarque de l’offre existante.

UN PROJET D’AVANT-GARDE À L’ÉCHELLE INTERNATIONALE
Plateforme unique en son genre, la Collection est bien plus qu’un simple catalogue en ligne : si elle favorise la découverte, elle agit aussi au niveau d’une transmission culturelle plus large en nourrissant la curiosité et la sensibilité de publics variés avec des contenus faisant état d’une recherche étayée et généreuse. La Collection est une ressource sans précédent pour valoriser les pratiques de cinédanse passées et actuelles. Portée par l’équipe de Regards Hybrides, figure de proue du développement de la cinédanse à l’échelle internationale depuis 2012, la Collection met de l’avant une approche éthique de la distribution de la cinédanse à l’ère numérique, laquelle se veut évidemment novatrice, mais également féministe et décoloniale.

Ce projet est réalisé grâce au soutien financier du gouvernement du Québec et du Conseil des arts du Canada. Nous remercions également nos partenaires de production Filigrane Archives et Mouvement Perpétuel, ainsi que nos commanditaires Danse Danse, FTA – Festival Transamériques, PPS Danse et Tangente Danse.

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Source : Collection Regards Hybrides | comm@mandolinehybride.com
Contact média : Annie Tremblay | 514 244.8336 | anniet@rpcat.com | Trousse média >

COMITÉ DE SÉLECTION
Claudia Chan Tak, Montréal
Karla Etienne, Montréal
Terrance Houle, Calgary
Allen Kaeja, Toronto
Valérie Lessard, Montréal
Marlene Millar, Montréal
Kathleen Smith, Toronto
Philip Szporer, Montréal
Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo, Montréal
Sofia Mai Wolfe, Vancouver

ÉQUIPE
Direction artistique et idéation — Priscilla Guy
Gestion de projet — Marie-Charlotte Castonguay-Harvey
Webmestre — Jean-Philippe Ung
Design graphique — Étienne Després
Indexation et intégration des contenus — Valérie Lessard, Gennaro De Pasquale
Conseillère en information numérique — Josée Plamondon
Communications et promotion — Clotilde Dyotte-Gabelier
Assistance aux communications — Laurence Dufour
Relations de presse — Annie Tremblay
Licences et conseils légaux — Sophie Préfontaine

OEUVRES DE LA COLLECTION
40 — Marlene Millar, Philip Szporer
Abismo — Pablo Diconca
All Things Grow — Francesca Chudnoff
At Lake — Mistaya Hemingway
Baker — Vickie Grondin, Jossua Collin Dufour
Balmoral Hotel — Wayne Wapeemukwa
Bhairava — Marlene Millar, Philip Szporer
Chainreaction — Dana Gingras
CRUX : La métamorphose d’AnneBruce Falconer — Louise Abbott
Danse Macabre — Pedro Pires, AnneBruce Falconer, Robert Lepage
E_GO — Alim Sabir, Eric Cheung
En deçà du réel — Manon Labrecque
Falling (and getting up again) — Tedd Robinson
French Exit — Oliver Husain
Glace, crevasse et dérive — Chantal Caron, Albert Girard
Godlin — Jontae McCrory
Golden Gloves — Gilles Groulx
Gravity of Center — Victor Quijada, Thibaut Duverneix
Habiter le mouvement – un récit en dix chapitres — Béatriz Mediavilla
Haven — Meghann Michalsky
Hiatus — Priscilla Guy
I Am Always Connected — Phillip Barker
image/Word.not_a_pipe=(Magritte) — Evann Siebens
Inuit High Kick — Alethea Arnaquq-Baril
Jardin de sculptures éphémères — Marie Chouinard
L’opéra d’or — Geneviève & Matthieu
La Chambre blanche — Isabelle Hayeur, Ginette Laurin
La La La Human Sex – Duo No.1 — Édouard Lock, Bernar Hébert
Landscape — Terrance Houle
Lay Me Low — Marlene Millar, Sandy Silva
Le ballon de l’amitié — Karenne Gravel, Emmalie Ruest, Liane Thériault
Le Soleil Perdu — Colin Low
Le temps de Sybilles — Robin Pineda Gould, les soeurs Schmutt
Les chevaux ne mentent jamais — Kathi Prosser, Caroline Richardson
Les papillons se souviennent-ils d’avoir été des chenilles? — Caraz, Alessandro Giaquinto
Lodela — Philippe Baylaucq
Monument — Gerry Trentham, William Yong
Motherland (母懷之地) — Alger Ji-Liang
Noppera-bo — Denise Fujiwara, William Yong
Odehimin — Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo
One two many few — Laurel MacDonald
ORE — Kim-Sanh Châu, Ray Lavers
OutSideIn — Anne Troake
Portraiture — Drew Berry
Regard sur le monde — Philippe Meunier
Risible Chick — Leslie Lindsay, Nick de Pencier
Saigné Toaster — Guillaume Marin
Singeries — Priscilla Guy, Catherine Lavoie-Marcus
Slip — Chelsea McMullan
Smudge — Barbara Kaneratonni Diabo
Spinning the Central Axis : Preah Khan — Peter Chin
The Odd Volume – Remixed — Ziyian Kwan
The Truss Arch — Sonya Stefan
the village trilogy — Laura Taler
Toute cette tendresse — Vickie Grondin, Marie-Michelle Darveau
Toutes les femmes qui habitent en moi — Marie-Hélène Bellavance
Traditional Healing — Raymond Caplin
Vanishing Points — Marites Carino
Wamin — Katherine Nequado
When Dreaming Molly — Louis-Martin Charest, Margie Gillis
y2o distillé — Dominique T Skoltz
Zummel — Allen Kaeja

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